citation du mois:
la réussite, c'est un peu de savoir, un peu de savoir-fair et beaucoup de faire-savoir
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Un nouveau test pour détecter plus rapidement le virus de la grippe dont le H5N1
L’Agence américaine des médicaments et des produits alimentaires (FDA) a autorisé la commercialisation d’un nouveau test capable de diagnostiquer très rapidement la grippe chez les humains, y compris l’infection grippale provoquée par la souche H5N1, hautement pathogène. Cet instrument (the Human Influenza Virus Real-Time RT-PCR Detection and Characterization Panel ou rRT-PCR Flu Panel), s’appuie sur une technique de biologie moléculaire pour détecter les virus de la grippe et les différencier entre ceux responsables de la grippe saisonnière et d’autres souches pouvant potentiellement présenter un risque de pandémie, selon un communiqué de -------------------------------------------------------------------------------------- Les vaches laitières produisent de moins en moins
Les auteurs ont centré leurs travaux sur la race montbéliarde dans la région de Sétif, car, cette contrée des hautes plaines semi-arides regroupe la majeure partie du cheptel bovin laitier du pays. « Les estimations les plus fiables tablent aujourd’hui sur un effectif de 150 000 et à 200 000 têtes rien que dans la région de Sétif, dont 70 à 80 000 produisent du lait », précise Toufik Madani, agronome spécialiste en systèmes de production animale à l’université de Sétif et co-auteur de l’étude. Dans cette région, la proportion des races européennes de haut potentiel sélectionnées pour la production laitière et importées a fortement augmenté suite à la demande soutenue sur le lait consécutive au développement démographique, à l’amélioration du niveau de vie et à la croissance urbaine qu’a connus l’Algérie après l’indépendance. Parmi les races qui ont été adoptées et appréciées par les éleveurs, la Montbéliarde, introduite depuis 1970 de l’est de la France. Son orientation mixte (lait et viande), mais aussi sa bonne résistante aux parasites et à la chaleur (c’est une race de montagne) ont aidé son adoption par les éleveurs. « Toutefois, peu d’études ont été faites sur ses capacités d’adaptation aux régions semi-arides et aux systèmes d’élevage mis en œuvre par les éleveurs », nous explique Toufik Madani. « Alors que l’une des contraintes qui limitent encore le développement de l’élevage laitier dans nos régions est l’adaptation du matériel animal utilisé. » En effet, les effets du stress environnemental, les faibles ressources alimentaires ou encore les conditions d’hygiène empêchent les races améliorées des régions tempérées transférées au sud de la Méditerranée d’exprimer leur potentiel de production. Alors qu’une vache produit en moyenne entre 7 000 et 7 500 kilos par lactation dans son pays d’origine, elle n’en donne qu’entre 2 000 et 3 500 kilos une fois en Algérie. « La problématique de la production laitière en Algérie se pose donc en termes de stratégie, poursuit l’agronome. En investissant dans des vaches améliorées, comme la Montbéliarde, mais dans une région et dans un environnement auxquels elle n’est pas habituée, peut-on constituer une pépinière d’animaux adaptés à nos conditions et nos systèmes d’élevage et augmenter la production laitière ? En d’autres termes, est-ce que ce modèle est fiable ou pas ? Est-ce que l’on peut produire une souche adaptée aux conditions de la région ? » Si les performances de production et de reproduction se maintiennent à travers les générations successives d’animaux nés en Algérie, la réponse est oui. « Or, de génération en génération, on s’aperçoit que la production laitière de la Montbéliarde baisse. Cela signifie que nous n’avons ni les compétences ni les structures qui conviennent », note le chercheur. « La faute n’est pas imputable à l’exploitant, dont les problèmes de gestion du matériel animal à l’échelle nationale dépassent largement sa responsabilité. C’est le rôle de l’Etat de mettre au point des systèmes de gestion et de conservation de la race qui, pour l’instant, n’existent pas. » --------------------------------------------------------------------------------------
L’évaluation la plus complète jamais réalisée des mammifères – le point fort de cette nouvelle liste rouge – permet ainsi aux experts d’être plus alarmistes que jamais. La moitié des espèces de mammifères sont en déclin et probablement un tiers sont menacées d’extinction. « Et la situation réelle pourrait être bien pire, ajoute-t-on à l’IUCN, puisque 836 mammifères sont classés dans la catégorie ‘’données insuffisantes’’. Et selon certains spécialistes, l’Algérie est pleinement concernée par le manque de données. Plus de trente espèces figuraient sur la Liste Rouge 2007 en attente d’informations pour un classement, à l’instar du fennec ou du lycaon, classés ‘’en danger d’extinction’’, donc leur présence chez nous reste incertaine. Les mammifères ne sont pas les seuls ; nous manquons aussi d’observations fiables sur les oiseaux : l’ibis chauve et le courlis à bec grêle restent donc classés « en danger critique d’extinction » en Algérie, aux côtés du puffinus mauretanicus, alors qu’ils pourraient avoir complètement disparu. « Plus nous attendons, plus cela coûtera cher de prévenir des extinctions futures », a indiqué Jane Smart, directrice du Programme des espèces de l’UICN. « A l’heure actuelle, nous savons quelles espèces sont menacées, quelles sont les menaces et où elles se trouvent ; nous n’avons plus d’excuses pour regarder en spectateurs sans rien faire. » ------------------------------------------------ La grippe porcine, c'est quoi? Ca se soigne?
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